Triste situation policière : en deux semaines, une policière et un policier sont décédés : hier, une femme dans un commissariat à Rambouillet, attaquée et poignardée par derrière, le courage toujours en moins !

Aujourd’hui, un dealer s’autorise à demander à un « flic » : qu’est-ce que tu fais là ? Et il est lâchement « flingué »

On a même vu un responsable syndical policier laisser couler une larme ! C’est dire la douleur, mais attention ! c’est dire aussi la colère…On sent que l’on est sur une pente tragique…

On cherche des solutions ! la sensibilité, la pitié, la compassion ? Et si on se contentait de l’intelligence ! alors , ça vaut un détour…

Ca me donne une idée : moi qui ai écrit un long poème-de 85 vers quand même- sur les cons, que j’ai terminé par « décidément oui, les cons méritent bien un Requiem », je vais tenter d’écrire quelques vers sur l’intelligence, mais je sens que ça va être plus compliqué ! Résumons…

2,3% de la population mondiale serait HPI : « Haut Potentiel Intellectuel », c’est-à-dire dotés,  « gâtés » -en anglais « giften »- doués, pardon « surdoués », bénéficiant d’un QI supérieur à 130…

On serait tenté de penser que mettre plus de HPI aux postes sensibles de la société, cela faciliterait la vie ! Est-ce bien sûr ? Pas sûr, car singulièrement les « giften » ne seraient pas plus doués pour le bonheur. Au contraire, ils seraient plus moroses, plus graves,  plus tristes en quelque sorte…

Et si l’équilibre, c’était plus simplement une association, une cohabitation, bref une tolérance partagée entre les HPI, les cons, enfin les gentils cons, en évitant les vrais cons, qui sont souvent socialement des « faucons »…