En 24 heures, des mouvements – à la limite de l’émeute- à Lyon, à Beauvais, à Bondy… pour les plus graves – posent clairement du choix entre une République forte et une démocratie molle !
Quand on associe les mots de République de Démocratie à un qualificatif, on sait qu’il y a problème. Souvenons de « république populaire », cela voulait dire qu’elle faisait fi du peuple… il en va de même quand on parle de « république démocratique » …
Aujourd’hui, on en est à se demander ce qu’est devenue la « république française » : 500 ZDND (zones de non-droit), où la police ne se fait accueillir que par des « caillassages », voire des agressions armées… La république est devenue un « chef d’œuvre en péril ».
Si les partis politiques ne redeviennent pas des mouvements d’idées et d’actions, si les hommes politiques ne se transcendent pas en hommes d’Etat et d’autorité, les premiers ayant pour rôle central d’identifier les seconds, on peut éprouver les plus grandes craintes !
On est à cette croisée des chemins, où il s’agit de choisir le destin d’une nation, entre une république qui redeviendrait forte, et une démocratie faible, avilie, qui ne pourrait mener qu’à une démocratie anarchique, pour ne pas dire une anarchie tout court !
Alors, il faut « rétablir la Parole » ! c’est sans doute la raison pour laquelle le pape François a décidé de se rendre en Irak, au risque d’étonner, sinon de mécontenter les plus fidèles de ses Fidèles. Le nombre de catholiques en « Mésopotamie » est passé de 1,5 million à 300 000 de pratiquants. Mais il va rencontrer des dirigeants chiites, ce qui d’évidence ne va pas ravir les sunnites…
Et ceci lui vaut ce commentaire-oh combien éloquent- de son prédécesseur Benoit XVI : « J’accompagnerai François avec mes prières » !
Ce soir, triste nouvelle : le génial danseur-étoile Patrick Dupond est mort. Il s’en est allé vers les …étoiles.