Ce jour, lundi de Pâques, le 5 avril, c’est le jour anniversaire de la mort de Danton…

Bernard Tapie et son épouse ont été agressés et cambriolés, victimes d’un odieux « home-jacking »

On a « perdu » quelques millions de doses de vaccin Johnson et Johnson car le « façonnier » a mélangé des substances avec celles d’un autre vaccin, qui n’a rien à voir avec le covid ! la situation en France : le taux d’occupation de lits de réanimation est de 140%…

On ne parle que des « diners anti-covid », dans le centre de Paris, entre 160 et 490€, auxquels auraient participé des ministres ; comme un parfum de scandale !

Et les négociations commerciales, entre la Chine et les Etats Unis, continuent dans un climat conflictuel accentué, avec cette stratégie chinoise bien connue : « conquérir sans combattre », subtile, unique, chinoise en quelque sorte …

Mais le point le plus pratique aujourd’hui, c’est la mise en application effective du nouveau « confinement déconfiné », c’est-à-dire ces mesures de surveillance renforcées qui combinent couvre-feu à 19h, fermeture des commerces non essentiels, des écoles, et en plus interdiction de consommer de l’alcool et de circuler au-delà de 10 Km de chez soi…Et tout cela jusqu’au 26 avril, au minimum…La vie va être beaucoup plus compliquée

Dans le domaine essentiel de la liberté, le débat cède la place à la polémique.

L’Agora des Athéniens (avec un A majuscule) tombe en la disgrâce d’agora des réseaux sociaux (avec un a minuscule)

Sur l’Agora athénienne, la parole était distribuée de telle sorte que tout le monde pouvait se faire entendre, ni plus ni moins que les autres !

Sur l’agora algorythmique des réseaux sociaux, il n’en va pas ainsi… la priorité est donnée à ce qui déclenche le plus de « clics », induisant publicités, mais aussi injures, connexions d’outrance et d’agressivité

Et pendant ce temps-là, la France décline, lentement d’abord, mais hélas, de plus en plus vite. La démographie s’effondre. La richesse économique s’étiole. L’écriture devient « inclusive ». La démocratie s’enlise. Le déclin devient « global »