« Grosse nouvelle » : le 4 mars est la journée mondiale de l’obésité. Drôle quand même ! j’aurais mieux compris « la journée mondiale de lutte contre l’obésité » …

Mais cette journée est marquée par quelques « grosses nouvelles » :

Victor Orban, le dirigeant hongrois, a décidé de faire sortir son parti du PPE au parlement européen ! c’est plus important qu’on ne l’imagine !

Ce soir, Jean Castex parle comme toutes les semaines de la situation de la crise covid, et annonce trois nouvelles :

– le confinement, durant les prochains week-ends, du Pas de Calais…

– le classement de 23 départements « sous haute surveillance », le quart de la France.

– dans ceux-ci, la fermeture des centres commerciaux non alimentaires de plus de 10 000 m².

Une étude d’opinion sort sur les sentiments que suscitent respectivement Macron et Castex. Pour celui-ci c’est l’ennui et l’indifférence. Pour celui-là, c’est le goût du pouvoir et la colère

Anne Hidalgo, la maire de Paris, annonce son intention de « supprimer » 70 000 places de parkings dans Paris, soit simplement la moitié de ceux-ci qui s’élèvent aujourd’hui à 140 000… ; On éprouve vraiment le désir de lui suggérer d’aller voir la situation à Stuttgart, où le premier maire écologiste d’Allemagne a réussi l’exploit de faire vivre en harmonie Ecologie et Mercedes.

La mode du deep fake se généralise ! c’est simple, on peut techniquement « greffer » n’importe quel visage sur n’importe quel corps. On imagine les dégâts.

Et, ce jour est marqué par l’élection à l’académie français de l’historien Pascal Ory, au fauteuil précédemment occupé par François Weyergans. Il est absorbé, au point d’en avoir fait un livre, par la question posée par le philosophe Ernest Renan : « Qu’est-ce qu’une nation ? » Alors, ce n’est sûrement pas par hasard que les débats se multiplient autour de la mort, qui est au cœur de l’actualité mondiale ! Evidemment les thèses les plus extrêmes se font jours, reflétant les approches sempiternelles entre ceux qui refusent la mort-comme si on pouvait la refuser – les « thanatophobes » – et les « spinosiens » qui acceptent la mort comme un passage nécessaire, non dramatique, et qui considèrent que l’important n’est pas « la méditation sur la mort, mais la méditation sur la vie » …