Les week-ends sont propices aux récompenses et à une réflexion, à moins qu’il ne s’agisse d’apparence de réflexion, sur des phénomènes sociétaux

Ce Week-end, l’un des sujets traités, hors les « marronniers » habituels, était « le confinement vécu au sein des couples âgés ». Différentes informations méritaient intérêt. Les spécialistes semblent d’accord pour considérer que la « cohabitation » au sein d’un couple heureusement vécue serait fondée sur le fait que celle-ci ne devrait pas excéder 25% de leur temps partagé…

En outre, les oppositions évidemment explicables au sein des couples sont fréquentes. Pour éviter les dérapages, un groupe de psychologues propose un « devoir d’adoucissement » réciproque, afin de stimuler autant que faire se peut l’esprit de dialogue

Comme toujours, on le voit, dans tous les domaines, rien ne remplace la mémoire et le dialogue !

Les nouvelles économiques sont toujours denses en cette période, qui marque le terme des 100 jours de présidence de Joe Biden. On le prédisait « sleeping Joe ». Il s’est plutôt révélé « working Joe » : 100 millions d’américains vaccinés…Relance économique mettant en œuvre 2000 milliards$… Reconnaissance du génocide arménien…Réintégration des Accords de Paris de 2015 sur le climat…

Concernant le contexte du marché du travail, on prend connaissance avec intérêt de la tendance des entreprises à favoriser la sortie de l’entreprise des seniors dans les plans de départ, ainsi que des dernières recommandations gouvernementales qui préconisent la sortie des séniors face à un marché du travail qui se profile terrible et que l’on pourrait résumer par la formule : « place aux jeunes …à tout prix ». C’est d’ailleurs là le problème. Certains économistes, conscients des difficultés qualifient d’ailleurs la situation en disant :

« La catégorie des seniors : ni en retraite, ni en emploi, va augmenter »

Décidément, c’est du « ni…ni », et du « en même temps » dans tous les domaines…

Le problème, c’est que « gouverner c’est prévoir, que diriger, c’est choisir », ce qui ne se fait « ni par ni-ni », « ni en même temps » mais bien en appréciant « le juste temps, surtout par gros temps » …