Quel merveilleux anagramme !

C’est évidemment le jour des amoureux, le jour de la rose que l’on offre symboliquement par 2, par 3, par 5 par 12, voire par 101… Par 2 c’est pour se faire pardonner ! jusqu’à 101 pour célébrer l’amour inconditionnel…

Rendons hommage à Valentin, prêtre catholique, accusé de marier des amoureux, mort le 14 février 270, à l’origine de la fête des amoureux !

 L’essentiel, c’est d’être en mesure de voir toujours « la vie en rose », comme le chantait Edith Piaf… mais aussi…

 « Mignonne, allons voir si la rose
 qui ce matin avoit desclose,
Sa robe de pourpre au soleil
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée
Et son teint au vostre pareil » …

 Comme l’écrivait poétiquement Pierre de Ronsard…

En ce moment, les poètes, les musiciens, les artistes ne sont pas à la fête et- à l’occasion de la 36° cérémonie des « victoires de la musique » – Jean Louis Aubert a choisi l’humeur de l’humour, en déclarant : « Je profite de l’absence de Madame la ministre pour ne rien lui demander » …

Mais point besoin de ministre pour célébrer l’Amour …

Puisque l’on évoque ministre, amour et musique, j’ai entendu ce soir avec émotion une belle évocation ce soir : en Russie, on a inhumé les dépouilles d’une centaine de soldats russes et français-des grognards de Napoléon- retrouvés en 2019 à Viazma, sur le chemin de « la retraite de Russie ». Au moment où les relations politiques franco-russes sont malheureusement dans une très mauvaise passe, cette « mise en mémoire » de ces héros est un beau signe de paix et d’amitié

Au terme d’une journée marquée toujours par le covid, mais heureusement aussi par l’amour, un propos de Martin Luther King sublime toutes les situations :

« Il faut accepter les déceptions passagères, mais conserver l’espoir pour l’éternité » …