En cette période de vaccin-ou plutôt de recherche de vaccins- les scientifiques observent avec attention les raisons qui font que certaines régions, certaines populations, certaines cultures, résistent mieux contre le covid que d’autres. C’est ainsi que l’on a pu discerner que l’Afrique résistait beaucoup mieux qu’initialement prévu ! on en a conclu que la température devait jouer un grand rôle. Oui mais, à l’inverse, le Brésil est fortement frappé, avec des températures comparables…
On note certes beaucoup de causes possibles : le climat, justement, la densité urbaine, les usages en matière de vaccinations générales, etc… Certains insistent fortement sur l’importance des régimes alimentaires. Bien sûr, ils déterminent en grande partie le niveau d’obésité ou la sensibilité au diabète, autant de facteurs de comorbidité au covid
Un point est particulièrement frappant : la consommation de certains produits comme certaines fibres, plantes et/ou épices. Et là, semble ressortir un certain consensus : les populations qui consomment beaucoup d’épices et de produits de la mer semblent présenter un taux de résistance sensiblement amélioré au covid : il suffit d’observer les pays d’Asie, que ce soit Taiwan, la Corée, le Japon…et même la Chine dont on se méfie des statistiques…
D’ailleurs, comme les chercheurs travaillent aussi sur les traitements, et pas seulement les vaccins, il est proposé des régimes ou produits préventifs
Alors que je ne parviens toujours pas à obtenir un RV pour me faire vacciner- il faut dire que je n’ai que 74 ans, des problèmes de stent et de suivi cardiaque, et que je n’enseigne qu’à 50 étudiants ! donc je ne présente évidemment aucun intérêt- j’ai fait le choix d’adopter un régime préventif, qui m’a été proposé par une société suisse.
De quoi est-il composé ? un ensemble de fibres végétales, extractions hydrosolubles d’origan, girofle, coriandre, thym, cumin, carvi, cannelle, menthe, gingembre… Le tout ayant permis l’obtention au profit du produit de la norme européenne EN 14476 (bactéricide, fongicide et virucide) Donc, d’un régime préventif à un régime curatif, des vaccins aux soins, il est sage de continuer à diversifier car « un consensus n’a jamais constitué une preuve scientifique »…